Mon bilan de l’Ecotrail des Côtes de Cournon 2018

Comme ces deux dernières années, j’ai couru l’Ecotrail des Côtes de Cournon. Pour l’occasion j’ai enregistré un petit épisode de mon streetcast pour vous amener avec moi sur cette course.

L’épisode du podcast est découpé en trois parties :

  1. Le petit-déjeuner [spp-timestamp time= »0:50″] : je vous explique ce que je mange environ 2-3 heures avant le départ de la course. Cette phase de petit-déjeuner est maintenant bien rodée chez moi. L’idée est de prendre de l’énergie, ne pas gaver, surtout pour courir 12km, éviter les choses qui font mal au ventre et surtout bien s’hydrater.
  2. Les quelques préparatifs avant le départ [spp-timestamp time= »8:10″] : j’ai enregistré ce segment environ 20 minutes avant le départ de la course. En fait, je l’ai enregistré entre la phase d’échauffement, environ 20 minutes entre un petit footing et des accélérations, et les derniers préparatifs : un peu de respiration et de visualisation, manger une barre sucrée et boire un bon coup.
  3. Le bilan après la course [spp-timestamp time= »10:20″] : mon ressenti sur la course environ 20 minutes après mon arrivée et notamment mes difficultés du jour et ma mauvaise appréciation de la chaleur.

Bilan complémentaire

Ce trail a pour moi une double saveur particulière :

  • C’est le premier dossard que j’ai accroché il y a environ 2 ans. C’est donc une sorte d’anniversaire pour ne pas dire pèlerinage.
  • C’est ussi la course la plus proche de la maison puisqu’elle se déroule sur mes chemins habituels. Pour l’anecdote, jai failli rejoindre en début de saison l’association de coureurs qui l’organise quand je cherchais un groupe d’entraînement.

Comme pour toutes les courses auxquelles je participe, je n’avais pas d’objectifs. Je n’ambitionne pas de gagner un jour. Regarder la moyenne horaire n’a pas vraiment de sens, surtout sur un trail où le dénivelé global, la météo et ses conséquences sur le terrain ont un impact important. Je regarde mon temps final mais je n’en fait pas un critère de réussite.

Surtout, je considère les courses comme des sorties d’entraînement, des occasions de faire un entrainement soit long soit rapide avec un peu plus d’adrénaline et un rythme qui ne soit pas juste dicté par un chrono ou par mon envie. D’ailleurs c’est aussi un bon moyen de me motiver parfois, soit pour aller courir avant pour préparer, soit le jour même quand le moral ou le temps ne s’y prêtent pas.

Mon seul indicateur valable est mon sourire à la fin. Et je l’avais.

Certes, comme beaucoup de coureurs ce jour-là, j’ai été surpris par la chaleur. J’en parle dans l’audio. C’était le vrai premier jour « un peu plus chaud » de 2018. J’ai discuté avec un coureur qui était lui sur le semi de Vichy, il a eu lui aussi très chaud.

Je me suis aussi un peu fait piéger par le rythme rapide au départ. Cumulé à la fatigue, à une alimentation un peu chaotique en ce moment, ma gourmandise, une régularité incertaine aux entraînements… j’ai eu un coup de mou à l’approche du dernier kilomètre.

Mais au final j’ai passé un très bon moment. J’aurai regretté si je ne m’étais pas inscrit sur cette course un peu particulière pour moi. Mon ressenti sur l’instant et sur la ligne d’arrivée sont mes critères de satisfaction. Donc tout va bien !

Bref, l’écotrail de Cournon est une course que je vous recommande toujours autant. Et encore merci aux organisateurs toujours aussi sympas.

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— Bertrand

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